mardi 5 octobre 2010

MOUILLAGES

Peu d’occasions de jeter l’ancre depuis notre départ des Baléares : la profondeur des rivages et l’absence d’abris sûrs le long des côtes, très exposées au vent et à la houle, nous consignent au port.


A deux reprises pourtant, nous avons retrouvé le plaisir du réveil au milieu de l’eau et des bains matinaux :


A notre arrivée sur Madère, deux jours de mouillage dans la baie d’Abra, à l’extrême est de l’île, avant que le vent nous ramène au port de Quinta do Lorde.









En arrière-plan, les îles désertes



Port de Quinta do Lorde


Sur le chemin des Canaries, au seul mouillage possible de la Grand Ile Déserte, deux jours accrochés à l’une des deux bouées, unique concession à la réserve intégrale qui nous interdit le débarquement sur la terme ferme et l’utilisation de notre annexe : deux espèces endémiques de phoque et de pétrel sont protégées par la veille attentive d’un gardien, seul habitant du groupe d’îles (qui en compte trois ). 

Cap sur les Iles Désertes







Au loin, la troisième "déserte", l’Île Bugio

Vue sur Madère, assez proche

Prochaine étape : LA PALMA, Canaries...

2 commentaires:

  1. Salut les Monteilloux,
    Françoise & JJacques, croisés ce jour à la manif (oui Sarko est tjrs là, & ns tjrs las itou), m'indiquent le blog.
    Gros bizous à vous 3.
    L'olive.

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  2. Rolo,
    j'utilise plutôt mon @ chez free (cad 'même préfixe que celle de gmail'@free.fr)
    Biz Oliv

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