Peu d’occasions de jeter l’ancre depuis notre départ des Baléares : la profondeur des rivages et l’absence d’abris sûrs le long des côtes, très exposées au vent et à la houle, nous consignent au port.
A deux reprises pourtant, nous avons retrouvé le plaisir du réveil au milieu de l’eau et des bains matinaux :
A notre arrivée sur Madère, deux jours de mouillage dans la baie d’Abra, à l’extrême est de l’île, avant que le vent nous ramène au port de Quinta do Lorde.
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En arrière-plan, les îles désertes |
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Port de Quinta do Lorde |
Sur le chemin des Canaries, au seul mouillage possible de la Grand Ile Déserte, deux jours accrochés à l’une des deux bouées, unique concession à la réserve intégrale qui nous interdit le débarquement sur la terme ferme et l’utilisation de notre annexe : deux espèces endémiques de phoque et de pétrel sont protégées par la veille attentive d’un gardien, seul habitant du groupe d’îles (qui en compte trois ).
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Cap sur les Iles Désertes |
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Au loin, la troisième "déserte", l’Île Bugio |
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Vue sur Madère, assez proche |
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Prochaine étape : LA PALMA, Canaries... |
Salut les Monteilloux,
RépondreSupprimerFrançoise & JJacques, croisés ce jour à la manif (oui Sarko est tjrs là, & ns tjrs las itou), m'indiquent le blog.
Gros bizous à vous 3.
L'olive.
Rolo,
RépondreSupprimerj'utilise plutôt mon @ chez free (cad 'même préfixe que celle de gmail'@free.fr)
Biz Oliv